«Le paradis est sur le dos des chevaux» se disent les cavaliers.
Que les chevaux partagent ce point de vue anthropocentrique n'est déjà pas certain du tout ; ce l'est moins encore s'agissant de chevaux contraints de remorquer des touristes obèses aux heures de grandes chaleurs dans ces hauts-lieux touristiques où leurs services sont proposés aux vacanciers.
Si vous ne pouvez pas résister à ces tours à cheval, au moins portez une attention minutieuse sur la sellerie. Avant de lui remettre la selle, assurez-vous que le cheval - ou l'âne - qui devra vous supporter n'ait pas de blessure sur le dos ou au ventre. Contrôlez le mors, refusez tout mors sale ou abîmé. Prenez également garde à l'état de ses sabots.
Si vous avez le moindre doute sur l'état général de la monture qui vous est proposée, faite-le savoir clairement au propriétaire et aux autres touristes présents ainsi qu'à la direction de votre hôtel et à votre bureau touristique.
Ce principe est valable aussi pour les chevaux des calèches. Ne montez jamais dans les calèches tirées par ces pauvres équidés maigres et épuisés. N'oubliez pas non plus que pendant les heures chaudes de l'été, tout comme vous, les chevaux ont droit à une sieste à l'ombre!
Si vous avez le moindre doute sur l'état général de la monture qui vous est proposée, faite-le savoir clairement au propriétaire et aux autres touristes présents ainsi qu'à la direction de votre hôtel et à votre bureau touristique.
Ce principe est valable aussi pour les chevaux des calèches. Ne montez jamais dans les calèches tirées par ces pauvres équidés maigres et épuisés. N'oubliez pas non plus que pendant les heures chaudes de l'été, tout comme vous, les chevaux ont droit à une sieste à l'ombre!

Pas de chaînes à moteur dans la bouche des chevaux!
Ni de fils de fer - souvent utilisés en guise de mors dans les pays d'Afrique du Nord, pour les chevaux tirant les calèche touristiques également - ni de quelque instrument de torture qu'on puisse encore imaginer ! Il ne suffit pas de leur faire tirer des charges à l'extrême limite de leur possibilités; les chevaux doivent en plus endurer les douleurs de «brides» inappropriées, comme ce cheval polonais qui, après une dure vie de labeur forcé, va embarquer pour un abattoir à des journées de route du pays.
S.W.